Je vois Moscou, cette ville peuplée d’immeubles et traversée
par des chemins désorientés, surdimensionnés, aux couleurs vives et obscures,
mélangées. Labyrinthe ? Fourmilière ?
Et si le mal et le bien étaient partout ?
Des corbeaux volent en dessous des nuages épais, signe
d’orage, de violence.
Deux personnages se promènent seuls sur un chemin au beau milieu
de nulle part, sans but précis. Ils sont là, accrochés, sur leur mini planète, étouffée
par les constructions de l’humanité, illuminées par deux soleils, qui
traversent les nuages sombres de ses puissants rayons !!!
Nos personnages traversent des bidonvilles, la pauvreté, pour
ainsi rejoindre la ville riche, en son sommet, éclairée et animée.
Cette toile peut très bien être un cauchemar ou bien une représentation
de ce que ressent le peintre.
Un beau matin, dans la forêt d’Afrique, Mboko
l’antilope croise sur son chemin Kouba l’escargot.
- Salut
collègue ! dit Mboko. Belle journée n’est-ce pas ?
- Belle en effet ! répond Kouba. Herbe tendre et cailloux frais, que
demander de plus ! Salut à toi !
Et chacun s’en va de son côté – ou, plus exactement,
Mboko bondit en avant, tandis que Kouba, lui, recommence à se pousser
doucement.
La belle journée se passe, et le soir, Mboko repasse
par hasard au même endroit.
- Tiens,
tiens ! Salut collègue ! redit-il à Kouba. Belle soirée, n’est-ce
pas ?
- Admirable !
répond l’escargot. Salut à toi !
Mais l’antilope ne bouge pas :
- Ecoute,
l’ami, dit-il, une chose m’intrigue : comment se fait-il que je te retrouve
ce soir quasiment au même endroit que ce matin ? Sans indiscrétion,
qu’as-tu fait de ta journée ?
- Ma
foi, j’ai fait mon chemin ! répond Kouba. Je n’ai pas cessé
d’avancer !
Mboko fut surpris que l’escargot ait mis une journée
pour tracer son chemin et se moqua de Kouba. Kouba, vexé par les propos de
Mboko, lui lança un défi !
Mboko, intéressé par la proposition de l’escargot,
l’écouta attentivement. Ils décidèrent de fixer les règles ensemble. Le pari
était d’atteindre le nord du pays en un mois.
Bien sûr, Mboko était certain de remporter puisque
Kouba est un escargot, donc forcement lent. Mais il ne se doutait pas une seule
seconde que Kouba était très très malin et qu’il ne fallait pas le sous-estimer
car les raccourcis, il les connait !
Mboko et Kouba avait alors un mois pour arriver au
nord du pays. Mboko avait tout prévu : il partirait 4 jours avant la fin
du délai pour le défi. Et pour lui, c’était gagné d’avance !
Kouba, conscient que sa lenteur n’était pas son plus
grand atout, décida de partir le jour même. Son départ était immédiat .Mboko
n’en savait rien mais s’en doutait bien, alors pour se moquer de Kouba, il prit
la route vers le nord pour rattraper l’escargot et lui montrer la réalité. Sauf
que Mboko n’a pas retrouvé Kouba qui devait se trouver, selon ses estimations, à 500 mètres du départ.
Donc, Mboko rentra chez lui et ne s’inquiéta pas plus que cela puisqu’après
tout, Kouba n’était qu’un escargot. Le temps passait et pour Mboko le départ
approchait. Persuadé de rattraper l’escargot, il savourait déjà la victoire,
sauf que sur le chemin, Mboko ne voyait pas Kouba et plus il avançait, plus il
s’inquiétait. A l’approche de l’arrivée, l’antilope aperçut l’escargot.
- Tu vois Kouba, je vais te rattraper, nous sommes à
un mètre de l’arrivée et je vais gagner hahaha !!!
- Tu es essoufflée, tes pattes ne te permettrons pas
de parcourir un centimètre de plus !
- Kouba, ne t’en fais pas pour moi, je vais me
reposer, et à mon réveil, je te rattraperai d’un seul pas !!
- On verra bien !
Deux heures plus tard, Mboko se réveilla et
s’aperçut que Kouba n’était plus que à dix millimètres de la victoire. Mboko
couru à toute vitesse mais en vain ! Kouba était bel et bien arrivé avant
lui ! La rage de Mboko montait en lui et ne s’avoua pas vaincu. Kouba dit
a Mboko : tu vois, si tu n’avais pas pris ce pari à la légère tu aurais
gagné !
Mboko retourna chez lui tout triste.Mboko ferme les yeux de désespoir, et pense qu’il
fait tout simplement un cauchemar. Mais le frère de Kouba lui dit à
l’oreille :
- Tu
vois, grande antilope, quand un petit escargot de rien du tout l’a décidé, il
peut te battre à la course ! Alors cesse donc de te moquer de ceux qui
sont moins rapides que toi : car ils sont souvent plus malins !
Cette statue représente un homme sur un cheval brandissant une épée. Il se nomme Sylvain et vécut entre le 11ème et 12ème siècle, sa date de naissance est inconnue alors que la date de sa mort est approximativement vers 1063 après Jésus-Chris. Il mourut sur le champs de bataille en donnant sa vie en échange de celle de sa femme retenue captive par les Grecs. Grâce à cet homme, la guerre qui opposa les Romains aux Grecs depuis des décennies arriva à son terme. Il fut tué par son pire ennemi Syrio avant que lui-même ne rende l'âme. Juste avant de mourir, il apprit que sa femme attendait un enfant de lui. Après sa mort, plus aucune guerre n'eut lieu et Sylvain fut considéré comme un héros. Des statues à son effigie ont été matérialisées pour lui rendre hommage.
A cette époque de l’année, Paris était recouvert de neige.
Le chemin était rempli de neige, la tour Eiffel était surement couverte de neige aussi.
Il y avait Presque personne dehors sauf un monsieur marchant seul.
Il portait un parapluie pour que la neige ne tombe pas sur lui et ne le mouille.
Par ce temps, par ce froid cet homme trouve le moyen de sortir pour se diriger vers la tour Eiffel.
Sur son chemin se trouve le palais de Chaillot, avec ses fameuses statues. Elles étaient toute braquées sur cet homme comme si elles regardaient cet étrange personne.
Le chemin de cet homme est une longue ligne droite enneigée et glacée pour arriver jusqu'à la tour Eiffel
La confiance ne se donne
pas facilement, et déjà qu’on a du mal à en donner si on s’amuse avec celle des
autres. C’est quasiment mort pour que celle-ci vous donne la sienne. Si je
devrais donner un conseil, ce serai celui-ci : ne pas jouer avec la
confiance, les sentiments des autres parce que c’est leur espoir que ceci peut toucher
& sans espoir on ne vit plus.
L’espoir de vivre quelque
chose, de retrouver quelqu’un, de faire telles ou telles choses dans sa vie,
toutes ces questions guident notre vie. Sachez-le !
C’est l’histoire d’un
homme d’une cinquantaine d’années connu dans son village. Il était aussi connu
pour sa mythomanie.
Ce personnage
abusait : pas une seul histoire, anecdote, phrase n’étaient vraies, rien
qui sortait de sa bouche avait un rapport avec la vérité.
Mais il avaitparfois des moments de répit dans le mensonge
envers nous et lui-même.
Il était dit qu’il lui
arrivait parfois de s’isoler une semaine dans son chalet en haut de la colline
de Tigerbay, mais personne ne savait à quel moment il s’y rendait. Au cours de
cette retraite, c’était l’homme le plus honnête qu’il pouvait exister.
Il pouvait exprimer son
honnêteté sous plusieurs formes : en parole, en mots, mais aussi en
dessin !
Dans ces moments, il
était dit qu’il était dans un état second. Pourquoi tant d’interrogation sur
cette personne, tant d’attention envers lui ? Parce qu’il fait parti des
anciens du village, la première génération des habitants de la ville, il ne
reste plus que lui.
Malgré ces mensonges perpétuels,
une sorte de culte lui était dévoué.
Une sorte de légende qui
disait qu’il avait traversé l’Atlantique dans des conditions apocalyptiques,
personne ne le croyait, il avait beau donner toute les meilleures raisons du
monde mais rien à faire !
« T’es un
mytho » tout le monde lui disait, et depuis ce jour-là, nous le l’avons
jamais plus revu, plus de nouvelles de lui.
Jusqu’au jour où il
sortit de la forêt devant tout le monde, avec une peinture entre ces mains, et
qu’il afficha sous un porche au centre du village, sur la place du marché.
Il était la assis à coté
de son œuvre…
Et ce mis à pleurer, une
petite fille vint jusqu’à lui et lui essuya les larmes, et l’embrassa, la mère
de l’enfant s’approchait vers eux de manière hésitante, intriguée et soupçonneuse.
Mais arriver au niveau de l’homme elle s’agenouilla et s’excusa pour toutes les
fois où elle a pu dire de lui qu’il mentait. Dès lors, une déferlante de
personnes qui fit de même.
« Ton
tableau est sincère, cela se sent, il y a une âme »
Cette
image parle de la violence, de la souffrance ou d’une guerre qui vient de
terminer. On y voit des gens qui hurlent, qui pleurent, une personne avec un
couteau écrasé par un cheval terrifié.
C’est un
tableau de tristesse, et ça nous rend triste.
Pablo
Picasso a raconté dans ce tableau célèbre, l’histoire d’un village espagnol
(Guernica), qui vient d’être détruit par des Allemands. On aperçoit une mère
entrain de pleurer, car son enfant vient de mourir, tout au fond à gauche un
taureau, car ça nous prouve qu’on est en Espagne.
Ensuite,
on aperçoit un bras anonyme, qui tient une lampe pour éclairer ce qu’il voit,
aussi pour voir la terreur, le sang etc.…
On
aperçoit une fleur, au milieu du tableau, juste au-dessous du cheval terrifié.
On dirait que cela évoque de la douceur, une petite tendresse, un brin d’espoir.
On ressent
aussi la douleur des Espagnols car les Allemands ont détruit tous leurs biens.
Les
Espagnols expriment leurs souffrances, en pleurant. Ils n’ont même pas mots à
dire tellement c’est terrifiant.
Ce grand monsieur avec son violon a l’air inspiré ! Derrière lui un joli décor très créatif avec beaucoup de petites maisons. L’homme est barbu et grand, vêtu dune longue veste de couleur violet… il est important par sa musique il a l’air de la vivre avec son fameux paysage que veut dire tout cela ?
A vrai dire, ce n’est rien, mais on appelle cela de l’art. Cotés vert cotés blanc ? Le thème de la peinture a bien été choisie vu que l’on ne sait pas trop ce que signifie le dessin mais il exprime la musique le bien être. Que serions-nous sans la musique….
Le paysage est magnifique. Au fond du paysage, ont peut il voir des montagnes, et les nombreux nuages sombres du ciel.
Sur le bord du lac on peut y voir du sable. le lac est bleu clair avec des tombes. Il a dû y avoir certainement un ancien village. Ce village semble bien étrange ! Des tombes encerclent les maisons en ruine... Tant de villageois sont morts? Mort comment on ne le sait pas...
Il y a du avoir une guerre pour qui ait autant de tombes, pourquoi autant de morts?
Les villageois se sont-ils entre-tués? Ils ne s'entendaient peut-être pas bien... , certains ont pu manigancer un complot, contre le chef du village!!! une grave trahison, qui n'aurait jamais dû se passer... du coup, une guerre de clan s'est déclarée...
Il y a eu une épidemie, peut-être... Cela reste un grand mystère...
L’union doit faire la force, dans ce
Monde pace que pratiquement personnes n’est solidaire tout le monde ne pence
que pour soit ! Lorsque tous le monde devraient être solidaire les uns les
autres.
Pour moi ce Monde n’est pas totalement
solidaire car il y a d’un coté les personnes ‘’riche’’ et le reste, lors que
dans ce Monde toutes les personnes devraient être au même niveau, pace que dans
certains pays il y a des personnes sans habitat sans famille donc sans repère
c’est pour cela que la solidarité est importante mais la ‘’richesse’’ ne fait
jamais le bonheur.
C’était tous un mélange de couleurs j’ai ouvert mes volets et j’ai vu ma rue, ma ville et les gens tout en couleurs.ca exploser de partout ; j’halluciné, j’ai cru à un rêve ; c’était merveilleux ! Je n’avais pas de mots et je n’y croyais pas. Dans ma chambre je me suis allongée et j’ai fermée les yeux et même les paupières fermés j’ai vu tous ce petit monde. Le ciel était sombre et en même temps il y avait des nuances de couleurs vifs. Les bâtiments étaient penchés ! Ils étaient dangereusement ondulés, ca partait de tous les cotes. Cette ville me rassurait maintenant, je la contemplé et je la trouver exceptionnel, l’arc en ciel était de mille couleurs, c’était époustouflant est même les oiseaux était illuminé de ce ciel magnifique de ces arbres en vie et de ces miettes de pain éparpillait un peu partout. La vie était enfin belle dans le sens propre comme dans le sens figuré. Il y avait du bleu, du rose, du jaune, du vert, du rouge il y avait toutes les couleurs qui ne portent pas de noms. Les ruelles était ensoleiller de bonheur, mes yeux s’orienté partout .je découvert j’étais surpris puis je me suis assis sur ce banc et j’ai pleuré de joie ? De tristesse ? Un peu des deux ! De joie car cette vie me plaiser enfin et de tristesse car j’avais peu que tout s’envole que tout cela ne soit qu’un rêve. Non moi je ne voulais pas voir tout ce petit monde partir. Les gens était aimable, le sourire sur leurs visages était constant, le bonheur se lisait sur eux